Voici un arbre généalogique de la famille Stas. Pour voir le portrait des membres de la famille, cliquez dessus.
Images disponibles ; Nikita, Kharine, Matveï, Valentin








Au diable la famille.

Commençons par ton nom... Kharine Stas, ou simplement Khazi, pour les intimes.
T'es pas un peu jeune pour être pirate ? Peut être trop vieux, en fait,
Et si t'étais pas libre comme l'air, tu s'rais chez qui ? Son aspect tout à fait typique nous dit que ce serait la Russie, ou la Pologne, mais son accent le confirme ; Russe
Et tu fais quoi de ta vie ? Second du capitaine de l'Amphitrite.
Et pirate, c'est une vocation ou t'as plus un rond ? Le simple amour de l'argent. Voilà de quoi faire sombrer n'importe quel homme dans les profondeurs de l'océan. Aussi, Kharine Stas, malgré son allure, est un bandit né ; Il aime tout ce qui brille. Mais ce n'est pas tout...

I

Dans un manoir baroque de Novodvinsk, non loin du port d'Arkhangelsk, Matveï Stas était assis dans le salon, empli du capiteux parfum de l'hiver. Se caressant le menton, il s'assit, un livre en main, sur un somptueux divan pourpre. Autour de lui, ses deux petits-enfants et sa petite-nièce attendaient à même le sol, en tailleur, qu'il leur raconte une autre histoire. Il posa le livre sur ses genoux et regarda son jeune auditoire.

«Les enfants, aujourd'hui, je veux vous raconter une histoire vraie. Ce livre n'est pas un conte. C'est moi qui l'ai fait. Vous savez le talent que j'ai pour dessiner. Je l'ai utilisé pour faire l'arbre généalogique de la famille.»

Tandis que les enfants se regardaient, dans un silence d'interrogation, Matveï posa ses yeux sur le livre, et enfila fébrilement ses lunettes de leur étui. Il tapa doucement le siège du divan, et les enfants s'assirent autour de lui. Il ouvrit le livre en son milieu, et capta aussitôt l'attention des trois enfants. Sur la page de gauche, figurait le portrait d'un homme au crane à moitié dégarni, et aux sourcils prodigieusement épais et nets. Sa moustache semblait celle d'un chat. Quand à sa barbe, elle arrondissait artistiquement son menton.

«Lui, c'est votre arrière grand père, Valentin Stas. La tradition familiale veut cette montre en or que je porte, soit légué au fils ainé à la mort. C'est lui qui me l'a donné, dans son testament. Quand je mourrais, Luka, mon fils, en héritera. Et quand il mourra, ce sera toi, mon petit-fils, Vasili, qui en prendra soin, car tu es le plus âgé.»

Malgré son visage dur et sévère, Matveï parlait aux enfants de la voix la plus douce qui lui était possible. Il évitait toujours de regarder les enfants dans les yeux, car il savait que son regard faisait peur. Heureusement, sa paire de lunettes lui donnait un air assagi, calme. Discrètement, Matveï se laissa plonger dans le portrait de son défunt père Valentin.

«Et lui, papy, c'est qui ?»

Le dessin de la page de droite présentait un homme fort, grand, au regard dédaigneux.

«...Lui, c'est Kharine. Mon petit frère...»

II

«Tu as un frère, papy ?!!»

Aussitôt, ses petits-enfants se penchèrent théâtralement au dessus du livre, tandis que Katia restait à l'écart. Il y eut un silence.
Kharine portait un épais manteau de fourrure. Le dessin s'arrêtait aux genoux, mais on devinait qu'il était très grand. Il avait un regard sombre, et semblait dévisager quiconque posait ses yeux innocents sur cette page. Oh non, il ne faisait pas aussi peur que Matveï, mais l'on devinait que, contrairement à ce dernier, c'était un être cruel. Il suffisait de voir ce dessin ! Oh, peut-être aussi que ce portrait, que Matveï avait fait de son frère, n'était pas tout à fait exact. Peut-être avait-il voulu le rendre méchant aux yeux du monde. Malheureusement, il avait parfaitement saisi l'antipathie dans le regard de son petit frère. Et ses yeux étaient comparables à des huitres. Oui monsieur, des huitres ; Petits, entrouverts, avec une perle au milieu. De plus, il semblait que ces yeux avaient été posés au fond du fond des sphénoïdes, ce qui accentuait fortement ce ton sévère. Et a l'exception du regard, Kharine et Matveï se ressemblaient comme des jumeaux. Les mêmes joues anguleuses, la même mâchoire saillante. Cependant, aucun de ces deux frères ne ressemblait à feu leur père Valentin, de près ou de loin. L'âge donnait une toute autre empreinte sur leur visage ; Tandis que leur défunt père avait un visage paisible et rond, le temps avait donné à Kharine et Matveï la dureté d'un siècle, la profondeur d'un millénaire. Seule la calvitie naissante les rapprochaient de leur géniteur. Elle s'étendait sur les tempes, vers l'arrière du crâne. Comme des cornes. Et chaque frère avait sa manière de camoufler les preuves de sa vieillesse avec élégance. Matveï portait une courte chapska noire. Kharine, lui, avait les cheveux plus longs. Rares sont ceux à le voir sans couvre-chef. C'est pourtant indéniable ; Ses cheveux sont aussi doux que la soie, et plaqués en arrière jusqu'à la nuque. Seulement, lui aussi a des cornes. Pour les dissimuler, Kharine porte un haut chapeau, qui en Russie et à cette époque, n'était destinée qu'aux aristocrates. Cela s'excuse, cependant, car Kharine a effectivement l'allure et la prestance d'un noble.

Le silence perdura. Matveï avait la fâcheuse habitude de rêvasser lorsqu'on lui rappelait des souvenirs. Mais ce n'était pas de la nostalgie. C'était plutôt sa haine envers Kharine qui refaisait surface. Face à cette situation affreusement tragique, devant laquelle seul un russe peut rire, Matveï se surpris à sentir ses lèvres s'étirer. Pourquoi ? Il pensait qu'aujourd'hui, Kharine était certainement déjà mort, et cela l'amusait. Le portrait, lui, fixait toujours Matveï. Aussi loin que puissent remonter ses souvenirs, Kharine n'a jamais souri. Et pire encore, sa moustache et sa barbe n'arrangent pas les choses. Elles lui donnent plutôt l'air insatisfait d'un juge de cour d'appel. Au bout d'un moment, Katia quitta sa place isolée au coin du divan, et daigna poser ses yeux sur le portrait de son horrible grand-père. Quel traitre, quel démon ! Katia écarta son cousin Vasili et s'approcha encore un peu du livre. Elle cracha sur le visage de Kharine. Matveï la gifla avec toute la force que son émotion présente lui avait donné.

III

«Mais, mon grand-oncle, c'est un judas ! Et c'est un escroc !»

Matveï ne dit rien. Il se leva, saisit brutalement le bras de Katia et l'entraina dans l'atelier, une vieille pièce isolée. Il s'agenouilla à la hauteur de sa petite-nièce, et la regarda pleurer, avec le visage le moins sévère que ses zygomatiques lui permettaient d'obtenir. Si l'on regardait plus attentivement, on distinguait un semblant de compassion.

«Katia, ne dis pas des choses pareilles, tu ne l'as jamais vu.
-Mais ma mère m'a tout raconté de lui, grand-oncle !»

Matveï posa ses mains sur les épaules de sa nièce. Il baissa la tête et souffla. Nikita avait une langue bien trop pendue. Jamais elle n'aurait dû parler de Kharine à sa fille, jamais ! Matveï se leva, et pria calmement Katia de rejoindre Vasili et Kirill. Ce qu'elle fit. Il quitta l'atelier à son tour, puis le salon, longea un couloir, monta des escaliers, longea un autre couloir, puis frappa à la dernière porte de droite.

IV

«Entre !»

Matveï entra. La chambre était grande, royale. Nikita était accoudée au rebord de la fenêtre. Elle se retourna vers Matveï.

«Bonjour, Matveï ! Comment vas tu ?
-Qu'as tu raconté à Katia, au sujet de ton père ?»

Nikita s'approcha et s'assit sur le rebord du lit, les doigts mêlés, l'œil coupable, pendant que Matveï restait droit, près de la porte.

«Je ne lui ai pas dit ce qu'il avait fait, si ça peut te rassurer. ...Je lui ai raconté ce qu'il était, et personne ne doit m'en blâmer. Je lui ai simplement expliqué quel traitre est son grand-père. Je lui ai raconté ce qu'elle devait savoir. ...Après tout, toi aussi, tu dois penser la même chose. C'est un phallocrate, un salaud. Regarde le nom qu'il m'a donné ! Regarde ce qu'il a fait quand il a su que j'avais enfanté une fille ! Il m'a battu et s'est enfui. Et je voulais que ma fille le sache. Aucun membre de la famille Stas ne doit croire que Kharine était un homme bon ! Il n'a jamais aimé que l'or. Et toi ! Quand il a craché sur la tombe de votre père, tu n'as rien fait ! Pourtant... Je suis sûre que toi aussi, tu penses qu'il ne fait plus partie de la famille.
-Ça suffit Nikita. Je tolère ta haine, et je sais que Notre Seigneur le hait aussi. S'il ne l'a pas déjà tué, il le fera. Mais Nikita, je connais ton père mieux que tu ne le connais. Et j'ai vécu trop longtemps avec lui pour vraiment le détester. Je ne souhaite pas qu'il meure.
-Matveï... S'il te plaît... Tu sais bien que tu es le seul de la famille à qui il daignait parler.
-Et c'est pour cette raison que je suis le seul de la famille à le connaître sous un autre jour. Nikita, tu es sa fille, mais tu ne le connais pas. Quand nous étions jeunes, Kharine était le meilleur à l'école. Il est très intelligent. Et c'était quelqu'un de bien. Vraiment. Il me protégeait.
-Mais il aimait aussi se battre, et il volait.
-... Qui t'a dit ça ?
-Mère. Qu'as tu d'autre à me raconter à son sujet ? Je ne le prendrais pas en pitié.
-...Je vois. S'il te plaît, Nikita, n'essaie pas de me le faire haïr. C'est mon frère. ...Kharine m'a avoué un jour qu'il n'avait confiance en personne, qu'il avait... qu'il avait constamment peur d'être trahi, en particulier par sa famille. Je ne peux pas l'expliquer, mais je crois que c'est pour ça qu'il nous a trahi en premier. Dans un sens, il avait raison, ...
-Raison ?!!
-Kharine se laissait souvent aller, il faisais ce qui lui plaisait, dans sa jeunesse. Il échappait souvent aux responsabilités. Seulement, ce n'est pas ce que veut notre famille Stas. Avoue le, Nikita, notre famille est beaucoup trop portée sur l'éducation, et nous en avons tous souffert. Le jour ou Kharine est parti pour l'Europe, il m'a dit qu'il coupait définitivement les ponts avec la famille. Je ne le crois pas, lui et moi étions trop liés. Mais je pense qu'il a fait ce qui était le mieux pour lui. Je ne vous laisserais pas l'insulter, toi et ta fille, car je le comprends. De notre famille, il n'a malheureusement hérité que l'idée d'éduquer par la violence, ce qui en fait un sauvage. Il a aussi oublié notre code d'honneur. Mais c'était parce que ce n'était pas pour lui. La dernière fois que je l'ai vu, il y a dix ans, il n'avait plus rien d'un Stas. Il ne fait plus partie de cette famille, mais il est tout de même mon frère. Je suis sa seule famille.
-Tu l'as vu il y a dix ans ?
-J'étais parti pour un séjour en Europe. Et la providence nous a réuni dans un port. Il a énormément changé.
-C'est à dire ?
-Il s'est épanoui. Il m'a dit qu'il vivait mieux dans un monde sans règlement.
-Sans règlement ?
-Il est devenu un pirate. C'est étrange, mais c'est exactement ce qu'il lui faut. Il est mieux là où il est. Si tu le hais, tu peux souhaiter qu'il soit arrêté et exécuté.
-Eh bien oui, je le souhaite.

Matveï partit sans dire un mot. Il descendit les escaliers et retourna au salon où les enfants regardaient les portraits. En s'approchant du divan, les enfants s'écartèrent et lui laissèrent une place. Il retira ses lunettes et les posa sur la table basse. Katia semblait aller mieux.

«Les enfants, il faut que je vous parle de Kharine.»

V

Les enfants, et plus particulièrement Katia, le regardèrent avec étonnement.

«Katia, ton père n'est pas entièrement celui que tu crois. Il a fait d'horribles choses, c'est vrai, et il continue sûrement à en faire à l'heure où je vous parle. Mais il ne faut pas juger quelqu'un sur sa pire action. Si c'était le cas, nous serions tous des criminels. Kharine est né en 1723, 7 ans après moi. C'était un enfant très intelligent, et déjà spécial. Comme vous, il a vu le jour pour la première fois ici même, dans ce manoir. Mais contrairement à vous, il n'a pas eu droit à la même éducation. Nous étions entrainés à savoir et à agir. Tous les soirs, nous devions étudier à la bibliothèque, sous la tutelle de notre parrain, Alekhine. C'était un homme sévère et zélé. Kharine se rebellait souvent contre lui, mais ne recevait comme réponse que des coups de bâton. La journée, notre père nous entrainait à tirer, à monter et démonter une arme à feu. Il voulait que ses fils sachent se battre. Encore une fois, Kharine désobéissait souvent. Il suivait l'éducation de notre famille Stas à contrecœur. La vie ne lui a jamais fait de cadeau, et notre famille non plus. Malgré son âge, il n'a reçu aucun traitement de faveur. Notre famille voulait qu'il apprenne ce que j'apprenais au jour le jour, alors qu'il avait 7 ans de moins que moi. Il était très intelligent et doué pour son âge, mais pas assez pour le mien. La famille ne l'a jamais remarqué, et n'a cessé de multiplier les punitions. Mais ce n'était pas assez, Dieu s'acharna sur son sort ; Kharine a toujours nié l'existence de Dieu, il crachait dans les églises, perturbait la messe... Les châtiments ne faisaient qu'attiser sa colère. J'étais le seul à qui il parlait. Il me confia un jour qu'il n'avait confiance en personne, et qu'il haïssait notre père Valentin. Si la famille l'avait su, il serait mort, aujourd'hui. Il n'a jamais aimé personne. A vrai dire, seul les diamants, les bijoux et l'argent l'intéressaient.
Quand notre père est mort, j'ai hérité de sa montre en or, comme le veut la tradition, et comme il l'avait mentionné dans son testament. Le lendemain, Kharine tenta de me tuer. Mais il n'avait pas assez de conviction ni de force pour y parvenir. Une fois que je l'avais calmé, il m'expliqua qu'il désirait cette montre en or, plus que tout au monde. Ne voulant pas déshonorer la famille, je refusai. J'avais un fils à qui léguer cette montre à ma mort, mais lui n'avait qu'une femme enceinte. Son bébé naquit quelques semaines plus tard, les semaines les plus tendues que j'aie jamais passé avec mon frère. Quand il apprit que son enfant était une fille, il battit sa femme et partit. A cause de son sexisme, et de son avarice, ce n'était plus un homme, c'était un démon, dans un excès de folie. Personne dans la famille n'eut de ses nouvelles, personne ne savait où il était parti. Pendant près de vingt ans, aucune nouvelle.
Et, il y a dix ans, je pris ma retraite, et parti pour l'Europe, voir du pays. J'y ai retrouvé Kharine. C'était devenu un autre homme. Plus calme. Mais aussi plus débauché. Nous avons parlé, toute une journée de lui, de sa vie en Europe, et je lui donnais des nouvelles de sa femme, son enfant, sa famille. Et... Et, Katia... Ton grand père est un pirate. Tu peux prier pour qu'il soit exécute, mais crois moi, petite, c'est la vie qu'il lui fallait. La nuit venue, il m'a fait visité la ville, puis m'a amené jusqu'au port. Il m'a montré son bateau au loin sur l'horizon.»
Mais avant de partir, il tenta à nouveau de tuer son frère Matveï. Il n'en attendait pas moins de la part de son frère, il n'en attendait pas moins de la part d'un pirate.

Ton prénom/pseudo : Boucle d'or, parfois Ceo.
Ton âge : 17 ans à la rentrée.
Comment as-tu découvert le forum ? Grâce à la publicité sur Crazy Tale
Ta première impression : Complet et pas confus, comme j'aime.
Le code du règlement : [Validé par Jacques Maupin]

Tout d'abord, bienvenue =) J'aime beaucoup ton personnage (bien que je risque de devoir planquer le mien rapido) et la façon dont tu l'as traité, jamais de façon directe.

Je n'ai pas le pouvoir de te valider définitivement -j'ai fait le code, toujours- d'autant plus que tu es le second du Capitaine, donc il faudra sans doute attendre son retour et son avis, excuse-moi. Toutefois, je te valide provisoirement =) (ce qui te donne essentiellement le sacro-saint droit de flooder sans culpabilité.)
Les admins commenteront à leur retour, ajouteront groupe et rang et tout ce qu'il faut.

Le seul détail que je relève, c'est le "haut gibus" qui est, si je ne me trompe pas, le chapeau haut de forme "à claque". Lequel ne fut inventé et porté qu'à partir des années 1820, or nous sommes en 1770. Bon, c'est vraiment un minuscule détail vestimentaire... Et il y en a un sur ton ava qui est très beau... Donc bon, je comprends et suppose que tu peux le laisser.
Mais en temps qu'intérimaire, je signale et laisse aux admins le bon soin d'aviser.

Voilà! Ta fiche est très bonne =)

Je ne pensais pas avoir ce genre de réaction, en fait. C'est la première fois que j'essaie de faire ma fiche de cette manière, en une traite, et je pense avoir trop raconté l'histoire, et pas assez creusé la beauté littéraire qu'elle mérite. Cependant, je suis plutôt fier de l'atmosphère que j'ai créé.
Quant aux chapeau... Ah, qu'il est difficile de se documenter. J'enlève le mot "gibus", et c'est fini.

Dès que je suis validé, Jacques, je t'expulse du bateau à grand coup de pied dans l'derrière !

Sans le gibus, ça me semble tout à fait bien =)
J'aime ce type de fiche, ça permet de rendre la "saveur" du personnage, si tu veux. Et sans le faire intervenir directement, comme tu l'as fait, c'est pas mal du tout 8D

*se cache derrière le fantôme du capitaine* Mais mais mais... >_<

[Je cesse de flooder sur ta fiche et laisse le soin aux admins d'en finir avec toi ^^]

Eh bien voilà, finalement, la fortune m'aura délivré assez de temps pour ...
J'ai donc lu ta fiche avec attention. Pour moi, c'est tout bon, j'ai juste relevé quelques soucis de phrases inachevées que voici :

Citation :

Cela s'excuse, cependant, car Kharine a effectivement l'allure et la prestance d'un noble Matveï fit aussi savoir aux enfants

Citation :

Il a Si tu le hais, tu peux souhaiter qu'il soit arrêté et exécuté.

Ajoutons à cela un "je refusa" qui est sans doute une simple faute de frappe, mais qui m'a fait grimacer.

A part ces quelques éléments, je pense pouvoir te valider sans soucis. Nous définirons plus précisément la relation avec Nogaret et l'entrée de Kharine sur l'Amphytrite, soit dans nos topics de relation respectifs, soit par MP. Je voulais juste savoir avant de poser la dernière patte : Kharine est-il déjà second de Nogaret, ou ... ? Je pense que oui mais dans le doute ... (c'est pour ajouter la bonne couleur =p)

Encore bienvenue ici dans tous les cas. Ton personnage semble des plus intéressants. ^^

---- Edit : Bon je te rends tout vert quand même, parce que ça m'embête de faire traîner pour des broutilles. Je te rajoute ton rang à mon retour, mais pour le reste, tout sera bon. x)

Je n'ai pas eu le temps de lire tout ta fiche >_< Mais ce que j'ai lu me plaît ! =) Je profite de mon passage pour t'ajouter ton rang et te souhiater la bienvenue sur le forum !
Si tu as des questions, n'hésite pas à nous contacter. Bon jeu sur le forum !