Cap à l'Ouest !
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 Sowana Hadaly, Madame Rêve

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Sowana Hadaly

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Sowana Hadaly

Féminin
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Localisation : Dans la Maison Errante
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MessageSujet: Sowana Hadaly, Madame Rêve   Sowana Hadaly, Madame Rêve EmptySam 25 Sep - 13:15

Tout le monde connaît Sowana Hadaly. Et pourtant, même en cherchant bien, vous ne trouverez personne qui soit capable de vous dire qui elle est. La seule chose dont tout le monde est sûr : c’est une sorcière. Du forban édenté à l’élégante parée de bijoux, du gamin des rues à la prostituée, tous vous diront la même chose : évitez cette harpie coûte que coûte.

Généralement, ce n’est pas bien difficile. Sowana quitte rarement sa petite maison de bois battue par le vent et les embruns. On dit qu’elle y concocte des potions - du philtre d’amour au poison virulent - et que quiconque entrerait dans son antre sans sa permission serait aussitôt frappé d’une terrible malédiction vaudoue. Dans le doute, les habitants de Tortuga n’approchent même pas à portée de voix et conseillent aux voyageurs mal avisés d’en faire autant.

Malgré tout, le chemin de terre menant à la maison de la sorcière sera toujours arpenté par des femmes à la recherche d’une décoction capable d’enrayer toute grossesse indésirable, par de jeunes hommes amourachés d’une péronnelle dont ils aimeraient savoir si le cœur est libre, ou encore par des marins ou leurs femmes prêts à payer pour une amulette ou un sort qui garantira une mer calme et un retour au port sain et sauf. C’est ainsi que Sowana gagne sa maigre pitance, car bien que tous la désavouent, il en est toujours quelques uns pour troquer ses services contre quelques pièces.

Une sorcière, un monstre, un oiseau de mauvaise augure : Sowana est tout cela à la fois. Sa façon d’éviter les regards et de se terrer dans sa maison, ou encore de parler à son corbeau, avachie sur son perron, tout en elle semble vouloir dire : je ne suis pas de votre monde. Et puis, qui voudrait donner sa confiance à un être capable de passer de la rage aux larmes, et du rire au regard le plus froid en l'espace d'un instant ? Les rares habitants de l'île qui semblent vouloir prendre sa défense, comme la maraîchère ou le marchand d'épices, chez qui Sowana se rend aussi souvent que son maigre pécule le lui permet, se font vite rabrouer par les autres, pour qui elle n'est qu'une sorcière. Mais ce que beaucoup semblent oublier - parfois volontairement, parfois par facilité et pour avoir bonne conscience - c’est que Sowana est avant tout humaine. Oui, un jour, une femme a enfanté dans la douleur, et le nourrisson braillard qui en résulta, ce fut elle. S’appelait-elle déjà Sowana ? Hadaly est-il un nom d’emprunt ayant pour but de camoufler quelque passé criminel ? Et même, d’où vient cette jeune femme dont on ne saurait dire si elle approche plus des trente ou des vingt ans ? Même à ces simples questions, personne ne peut répondre. Elle parle toutes les langues de Tortuga : du français à l’espagnol en passant par l’anglais et les patois et créoles de chaque. Pourtant on dirait qu’aucune de ces langues n’est vraiment la sienne et, au fond, quand on y prête attention, c’est vrai que Sowana semble étrangère à tout et à tout le monde.

Son apparence ne donne pas plus d’indices quant à ses origines : une peau mate qui aurait tout aussi bien pu être pâle avant de connaître le soleil de Tortuga, de longs cheveux châtain foncé qui pourraient suggérer des ancêtres aussi bien gitans que philippins ou même andalous, un regard d’améthyste qui vient contredire toutes ces suppositions... Tantôt outrageusement dénudée, tantôt retranchée sous une pile de vêtements dépareillés et mités, Sowana change de style autant que son humeur le lui dicte, la seule constante étant ses quelques bijoux en or et son lierre tatoué sur le bras gauche, au mépris du qu'en dira-ton. Même sa mise ne suit aucune règle, aucune mode qui viendrait trahir son appartenance à une catégorie sociale. Sowana la sorcière reste un mystère aux yeux de tous.



Laisse-moi te raconter une histoire, mon amour.
Il était une fois un riche et beau jeune homme, à qui la vie souriait. Il courtisait les femmes, il séduisait les hommes, toute la ville était à ses pieds, et il était heureux.
Mais un jour, il croisa le chemin d’une fille qu’on disait perdue. Non pas qu’elle eût vendu ses charmes pour subsister, mais son âme était, à ce qu’on disait, prise par le Malin.
Pourtant, chaque nuit, il était hanté par l’odeur de sa peau, les reflets de ses cheveux, le tintement de ses fins bracelets d’or. Il ne dormait plus, ne mangeait plus, il délaissait tout ce qui auparavant avait fait son bonheur.
Il alla par trois fois trouver le moine qui surveillait la retraite de sa bien-aimée. Par trois fois, le moine refusa de le laisser rencontrer la pauvre âme. “Quel crime a-t-elle commis ?” demanda le jeune homme. “Quel péché entache son honneur ? De quoi doit-elle se repentir, enfermée ainsi loin du regard de ses pairs ?”
Le moine baissa la tête, et dans un soupir résigné, lui avoua la raison de la présence de la fille dans le monastère.
Possédée. Elle était possédée. Le jeune homme ne pouvait le croire. Il devint encore plus fébrile, et cette fois-ci, il ne sortait plus de chez lui, tournant en rond dans ses appartements en répétant encore et encore : “Je la veux.”
Elle était parfaite, il le savait ! Il ne l’avait rencontrée qu’une fois, mais ce regard, cet unique regard qu’elle lui avait lancé du fond de l’église, l’avait détournée pour toujours de sa vie, de ses devoirs, et de Dieu. Il aurait pu se damner pour elle, qui qu’elle ait pu être.
C’est ainsi qu’un soir d’orage, il entra au monastère, et ravit sa belle à la barbe de tous. Ils se marièrent dans l’heure.
Ce fut le début d’une lente et catastrophique chute vers les ténèbres. Car le mariage n’avait pas dissout la possession. La femme qu’elle était à présent était toujours en proie à de terribles crises, elle hurlait, gesticulait, maudissait ceux qui osaient l’approcher pour la secourir, parfois même elle se blessait ou parlait dans une langue que personne ne semblait connaître.
Traqués, chassés de village en village, le couple voyageait à travers le monde, en quête d’une terre chaleureuse qui leur accorderait asile. Mais toujours, ils étaient chassés, et toujours, ils devaient reprendre la route. C’est ainsi que leur premier et seul enfant naquit au petit matin, dans le fossé d’une route de terre menant à un port où, ils l’espéraient, les attendaient pour les emmener vers une nouvelle terre, une terre promise, où ils vivraient enfin heureux.
Mais tu sais, mon amour, comment l’histoire se termine. L’enfant a grandi, ballotté par les vents qui l’emmenaient vers un paradis qu’elle ne connaîtrait jamais. Car, quand les premiers signes de possession firent leur apparition chez l’enfant, le chagrin, l’angoisse et la maladie emportèrent sa mère pour toujours. Son père l’accompagna envers et contre tout vers une destination qu’il n’imaginait même pas être la dernière pour lui comme pour elle. À peine eut-il mis pied à terre qu’il mourait, foudroyé par la mort.
Heureusement ! Bien heureusement, mon amour, mon coeur, mon tout et ma moitié, je t’ai rencontré ! Avec toi je n’étais plus seule. Avec toi, tout est devenu si simple... Si clair... Il me suffit de tendre l’oreille, d’écouter ta douce voix. Ta voix qui est plus juste que la voix de Dieu. Ta voix qui est vérité. Ta voix que je suis seule à entendre. Car je suis à toi, toute entière, et pour toujours. Je t’aime, Nérée.


Le corbeau croassa. Il écoutait toujours Sowana avec attention. Il se retenait toujours de s'ébouriffer les plumes ou de se gratter sous l’aile du bout du bec quand elle lui parlait. C’était une sorte de contrat entre eux : elle l’écoutait la plupart du temps, mais quand elle avait besoin de lui parler, c’était à son tour de l’écouter. Et cela fonctionnait bien. Bien sûr, ils devaient garder leur relation secrète. Les “gens”, tous ces humains de passage ou installés près d’ici, ils n’avaient pas besoin de savoir. Pour eux, Sowana n’était qu’une diseuse de bonne aventure, une voyante, tout au mieux une sorcière. Ils ne comprenaient pas tout le pouvoir dont elle était dotée.
Soudain, elle s’était tue. Son regard était devenu vague et s’était perdu dans l’horizon qui prenait une couleur de corail. Elle avait fini de parler. Il pouvait s’en aller.

Il déploya ses ailes brillantes et alla se percher à l’intérieur de la maison, laissant sa douce Sowana à ses rêveries, assise sur le perron. Elle était appuyée, dos contre le mur, les bras entourant ses jambes ramenées contre elle. De l'intérieur, Nérée ne pouvait voir qu'une épaule osseuse nue et le lourd tissu orange qui composait son jupon. Cette tenue inconvenante avait tendance à en choquer quelques uns, mais Sowana ne se souciait guère de dévoiler ses épaules osseuses, sa poitrine légère ou ses flancs dont les côtes saillaient. Parfois, elle jouait avec de la terre, sur le pas de sa porte, en marmonnant des paroles inintelligibles, et elle n'hésitait alors pas à remonter ses jupons, quitte à laisser au vu de tous ses longues jambes aux genoux cagneux. Il n'y avait rien d'attirant dans son corps, mais elle n'en avait pas honte. Nérée cligna des yeux. Le soleil faisait luire la peau de cannelle de sa bien-aimée sur laquelle paressaient quelques mèches de cheveux couleur réglisse. Il aimait la regarder. Elle était belle.

Puis il se tourna et s'affaira à son plumage, bien installé sur son perchoir préféré. La maison était mal aménagée : la paillasse qui servait de couche à Sowana était entassée dans un coin sombre, le sol de terre battue était jonché d’étoffes qui avaient, par le passé, arboré des couleurs vives et chatoyantes, mais qui étaient aujourd’hui maculées de saleté, et en dehors d’une petite cheminée qui semblait tenir debout par un miracle du Saint-Esprit, le mobilier se résumait à : des cages.

Des dizaines de cages accrochées aux murs et au plafond, à l’image de celle qui trônait sur le perron de la bicoque. Certaines étaient en bois, d’autres en fer, de vieilles cages souillées en côtoyaient des neuves et rutilantes. Sans même savoir pourquoi, Sowana les collectionnait. Pourtant, la simple idée d’enfermer Nérée dans l’une d’elles lui était insoutenable.

Chaque cage avait son histoire, son style, et parfois même, son secret. La toute petite cage blanche, par exemple, accrochée de travers sur le mur du fond, et sur laquelle Nérée venait de se poser, renfermait une boîte en bois toute simple, même pas ouvragée. Mais dans cette boîte se trouvait le plus grand trésor de Sowana.



“Nérée ?”
Silence. Je répète : “Nérée ?”
Toujours rien. Je déplie mes bras pour libérer mes genoux et me lève. Une femme courtaude qui passait par là tressaille et presse le pas. Je ne dis rien. Je passe la porte sans un bruit. J’aurais aimé l’interpeller, lui demander ce qui lui fait donc si peur, et peut-être la secouer un peu. Mais je préfère rester discrète. Dieu seul sait de quoi sont capables “les gens”.

Nérée se lisse les plumes sur une cage. Je caresse son bec sombre. Son regard est moqueur.
“Oui, je sais.” Il me fixe toujours. “Mon père n’était pas si riche.” Nérée n’a pas bougé. J’éclate de rire. Il a raison. Ma mère n’était pas possédée, du moins, pas par le démon. Son sommeil était agité et entrecoupé de moments de terreur pendant lesquels des forces obscures l’observaient. La simple vue d’un objet ou d’une personne pouvait la faire entrer dans une rage folle, blasphémant, injuriant et agressant tout ce qui se trouvait sur son passage. Parfois, elle restait rêveuse un long moment, puis revenait vers nous, apaisée, et nous offrait l’une de ses prophéties dont elle avait le secret, et qu’elle était seule à comprendre.

Voilà quel est mon héritage. Tout ce qui me reste de mes origines et de mon passé. C’est cette capacité à écouter les prophéties de Nérée, à accueillir en moi cette autre force qui me guide et qui parle à travers moi. Elle ne me quitte pas, et j’ai appris à l’accepter. Nérée et elle sont mes deux seuls compagnons, et je les chéris de tout mon cœur.

Je m’asseois à même le sol, et Nérée vient se poser sur mon épaule. Je ferme les paupières et me laisse aller à ma rêverie. Sans m’en apercevoir, je murmure : “Je les aime jeunes et impertinentes, dressées face au ciel dans un élan de joie vigoureuse, prêtes à s’arracher à une terre dont elles ne peuvent se défaire mais qui leur promet tellement moins que l’azur inaccessible qui resplendit loin au-dessus de leurs cimes...”
Je souris. Je suis apaisée.


Spoiler:


Dernière édition par Sowana Hadaly le Mer 13 Oct - 0:08, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Sowana Hadaly, Madame Rêve   Sowana Hadaly, Madame Rêve EmptyDim 26 Sep - 6:15

Bonjour ! Merci de proposer une nouvelle version de Sowana, nous allons en débattre ensemble.
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MessageSujet: Re: Sowana Hadaly, Madame Rêve   Sowana Hadaly, Madame Rêve EmptyDim 26 Sep - 10:01

    Bonjour et (re)bienvenue !

    Après délibération, nous avons choisi de t'attribuer le rôle. Ta fiche est très soignée et correspond bien au mystère général que nous aurions voulu laisser planer sur cette étrange femme ...

    Mais comme je suis un homme pénible, je tenais à signaler deux points de détail avant ta validation effective :
    • L'âge. Je voulais savoir s'il était possible de vieillir un peu le personnage ? En effet, nous imaginions un personnage ayant au moins dépassé le stade de la "jeune femme", pour mieux le distinguer, justifier ce côté "usé par les ans, la solitude" et surtout, lui donner plus d'expérience. Mais c'est davantage une suggestion.

    • Le tatouage m'a interpelé également parce qu'à l'époque, c'est très peu répandu, voire inconnu. De ce que j'ai lu, les européens auraient vu des hommes tatoués lors de leur découverte du Pacifique (notamment l'exploration de James Cook dans les années 1770), ce qui fait un peu tard, déjà, pour nous. C'est aussi très mal vu par L'Eglise, mais Sowana se soucie-t-elle de cette condamnation, ça ... x) Au final, peut-être que si nous devions admettre une exception, ce serait pour Sowana, qui a possiblement beaucoup voyagé, et dans des contrées reculées, mais je tenais à te signaler. Ainsi, si tu y tiens, je pense que tu peux garder cet élément, mais il faudra alors réfléchir à comment l'expliquer, si tu souhaites le faire un jour.

    Voilà ce sont comme tu le vois plutôt de petites mises au point que de réelles corrections. J'attends d'avoir ton avis sur ces deux détails, et je te valide !

    P.S : J'ai aussi ajouté un astérisque au membre portant le nom du personnage avant de l'informer que le rôle a été pris. Tu peux donc changer ton pseudo en Sowana Hadaly sans crainte de doublon. =)
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MessageSujet: Re: Sowana Hadaly, Madame Rêve   Sowana Hadaly, Madame Rêve EmptyDim 26 Sep - 13:04

Bonjour !

Merci beaucoup d'avoir choisi ma fiche, je pense que le choix a dû être rude étant donné la qualité de l'autre Sowanna...

Maintenant, pour répondre à tes questions (qui sont pertinentes x) ), je ne vois absolument aucun inconvénient à vieillir Sowana. Très franchement, je n'avais aucune idée de l'âge que j'étaissupposée lui donner, d'où la tranche d'âge très large... Au lieu de quelque part entre 20 et 30 ans, je pourrais lui donner entre 30 et 40 ans ? Si ça te convient, j'éditerai ma fiche.

À propos du tatouage, en fait, j'avais hésité entre deux possibilités... Étant donné qu'elle a énormément voyagé pendant sa jeunesse et que ses parents étaient un peu spéciaux, ils auraient pu la faire tatouer par je ne sais quel indigène x) Et comme le fait de se balader à moitié nue (en tous cas pour les moeurs de l'époque) ne la dérange pas, on peut supposer qu'exhiber un tatouage au vu et au su de l'Église ne lui fait ni chaud ni froid.
Sinon, il y avait aussi la possibilité qu'il s'agisse d'un tatouage temporaire, type henné, et dans ce cas, elle pourrait s'en faire régulièrement, avec des motifs différents à chaque fois. Ce qui ne l'empêcherait pas de l'exhiber sans honte x) Puisqu'on a retrouvé des traces de henné sur des momies égyptiennes je suppose que ça ne serait pas impossible qu'une femme de Tortuga en ait chez elle...
Qu'est-ce qui te semblerait le mieux ?
Au pire je peux très bien enlever le tatouage, dans le texte comme sur l'avatar. Et sinon, ça ne me dérange pas de prendre ton avertissement en compte : c'est pas comme si Sowana cherchait spécialement à entrer dans la norme...
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MessageSujet: Re: Sowana Hadaly, Madame Rêve   Sowana Hadaly, Madame Rêve EmptyDim 26 Sep - 17:08


    Pour l'âge, une fourchette 30-40 ans serait parfaite.
    Pour ce qui est du tatouage, je vois que tu y as réfléchi, et au fond cela me suffit. Un tatouage au henné est sans moins lourd, plus pratique, mais il sera aussi peut-être difficile de s'en procurer, vu que la plante ne pousse pas partout. Mais j'avoue mon ignorance sur ce point ... Et ne sachant pas, je te laisse décider. Tu as une justification dans les deux cas et c'est cela qui compte avant tout.
    Et puis ... En effet, ce n'est pas comme si Sowana devait avoir l'air normal 8D Comme je te disais, je n'admets qu'une exception à cette règle du tatouage, et c'est bien pour cette femme étrange, qui vient d'on ne sait où, a couru un peu n'importe où, n'a pas d'âge - bref qui confine à la légende. Parce que dans son cas, à la limite, c'est envisageable et que ça contribue au mystère qui l'entoure. A éditer ou non selon ta préférence, donc. ♥

    Cela dit, je te fais confiance pour la modification de l'âge, et te valide d'ores et déjà, parce qu'il serait dommage de te faire attendre davantage pour ces détails quasi-réglés.
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