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 Pietr Lancaster / L'Oeil Sombre

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Pietr Lancaster

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Pietr Lancaster

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MessageSujet: Pietr Lancaster / L'Oeil Sombre   Pietr Lancaster / L'Oeil Sombre EmptyMer 1 Juin - 21:59

Pietr Lancaster / L'Oeil Sombre 37974_cap2

On ne guérit d'une souffrance
qu'à condition de l'éprouver pleinement...



Pietr Lancaster / L'Oeil Sombre Sanstitre1zqu
    Commençons par ton nom... Autrefois l’époux d’une merveilleuse femme, je ne suis aujourd’hui plus que l’ombre de moi-même… Je suis Pietr Lancaster… Rien de plus…Rien de moins… Bien que certains me surnomme maintenant l'Oeil sombre.
    T'es pas un peu jeune pour être pirate ? Environ 31 ans. Cela fait quelques années que je ne compte plus.
    Et si t'étais pas libre comme l'air, tu s'rais chez qui ? Je serais sans doute dans mon domaine familial en Angleterre, non loin de Canterburry.
    Et tu fais quoi de ta vie ? Je vis désormais aux dépends de moi-même. Ancien coutelier, je survis de mes économies pour soulager ma conscience et l’âme de ma défunte famille. Car c’est maintenant en loup de mer sans cœur ni âme que je vogue.
    Et pirate, c'est une vocation ou t'as plus un rond ? Une vocation ? Si on veut… Le terme vengeance, ou non… plutôt cela… c’est en martyre que je parcours les mers et m’attarde aux bars. Romanesque n'est-ce pas ?


Pietr Lancaster / L'Oeil Sombre Sanstitre2dbg
[list]Et t'es plutôt gringalet ou baraqué ? Les cheveux bruns, fins et mi-long, Pietr a le regard sombre. Ainsi surnommé depuis quelques temps l’Oeil sombre, il possède toutefois une barbe de quelques jours qui lorsqu’il écume les bars lui donne un aspect de mendiant. Habillé de vêtements plutôt miteux, il n’a pas la volonté d’attirer les regards sur sa personne. Alors, discret si vous le cherchez, c’est au fond de la taverne dans un coin reculé que vous le trouverez.
Maigre il n’a toutefois pas la peau sur les os, car vif il est un homme saillant. Ne vous fiez donc pas à aux apparences, aussi faible fut-il, il pourrait bien vous trancher la gorge avant que vous ne le compreniez. Car ne l’oubliez pas, coutelier de père en fils, il les confectionne de ses propres mains, et une agilité dans leur maniement en découle donc.

T'es pas du genre à tenir tête au capitaine, au moins ? Joyeux, bon vivant, jouissant d’une vie ou l’euphorie et la gaieté des choses simples de la vie était plus que présente… Telle que le doux sourire d’une merveilleuse femme, ou encore les rires aux éclats de ses enfants, la lecture le soir des plus grandes histoires de piraterie, mais encore les rayons du soleil donnant sur sa peau lors d’un pique nique… Voici ce qui animait sa vie, et sa personne.
Mais un jour, alors que le tonnerre grondait plus fort que les tambours de l’enfer même, tout bascula. C’est ainsi que depuis cet évènement, le Pietr coutelier de renommé disparut tant physiquement, que psychologiquement. Affecté au plus profond de lui, il ressorti alors toute la noirceur qu’un être aussi pure que lui en fut capable. S’habillant dès lors d’un capuchon, c’est en baissant la tête et en ne laissant plus rien paraître de son ancienne vie, qu’il marche désormais. Rusé toutefois, il est devenu aussi impitoyable et insensible qu’un loup de mer… Oui, l’Oeil sombre commence maintenant a attiser une profonde crainte auprès du peuple. N’ayant aucune pitié pour les acteurs de ce tragique moment, il n’est cependant pas sans cœur, car généreux, il ne rechigne pas a donner quelques pièces à certains mendiants. De plus, littéralement détruit, il n’a plus aucun respect pour sa personne, n’oubliez jamais ceci… Bien que sa vie soit difficile à prendre, il la donnerait volontiers pour une noble cause.

T'aurais pas une histoire à nous raconter ?

Journal de bord de l’Oeil sombre. Le 11 novembre 1770 à la lueur d’une bougie, Tortuga.


Le temps est froid et humide, cela fait bientôt une semaine que je n’ai pas entrevu un rayon de soleil. Bien que cela me soit indifférent, sentir cette chaleur me rappelle au combien douloureux, ces moments passés avec ma défunte famille… Désireux de revoir cet astre brulant pourtant synonyme d’infâme souffrance, je ne puis qu’espérer et attendre qu’un rayon daigne se montrer. Serais-je donc devenu masochiste ? A tel point que désirer chaque chose qui m’efforcerait de penser à tous ces moments est devenu depuis quelques temps le seul sens à ma vie ?



Désolé, une bonne gorgée de rhum m’était nécessaire car parler de tout ça n’est pas chose facile pour moi. Mais comme me l’avait dit un jour un ivrogne quelque peu énervé devant mon silence… « Si tu veux pas parler ! T’as qu’à l’écrire mille sabords ! Marin d’eau douce ! ».

Où en étais-je donc ? Oui… C’était il y a donc quelques mois… En plein été, alors que les fleurs florissaient et montraient leurs plus belles robes et que l’herbe par le vent nous humectait de son parfum enchanteur ; Je menais ma famille et moi une vie des plus paisibles dans notre maison de campagne non loin de Canterburry. L’ont pouvait y voir le soir un soleil couchant reflété par notre lac, où tous les dimanches nous allions pêcher avec mes fils. M’enfin je dois bien l’avouer avec le recul, nous rigolions plus que nous n'attrapions de poissons… Mais tous ces moments ancrés en moi, ne sont maintenant plus que des souvenirs auxquels ma personne tente de se raccrocher.
Car un soir, alors que la pluie avait disparut depuis bientôt plus d’un mois, elle s’était montré en ce jour, fourbe et envahissante.

S’immisçant dans notre grange en contre bas, j’avais du avec l’aide de mes fils sortir afin de protéger nos biens. L’heure avait passé quand nous rentrâmes, fier de la réussite de nos actions, en riant. Chaleureuse, vivante, et magnifique, elle n’était maintenant plus que ténèbres, abysse et sang. Oui, l’odeur s’attachant à nous, j’ordonnais à mes enfants de rester en arrière.



Un bruit de pas provenant de ma droite… je tournais ma tête afin de voir qui venait, mais ce fut à gauche que le coup fatal arriva. Sombrant dans l’inconscience, je demeurai à partir de cet instant un père impuissant, incapable de protéger les seuls personnes qu’il me fut possible d’aimer…

… Un instant s’il vous plait… « Un autre verre siouplait ! » Ou en étions-nous… Ah.

La chaleur donnant sur ma peau, le vent encore chaud comme une nuit d’été soufflant sur ma chevelure, allongé sur le sol, je me réveillais… Dans un sursaut, alors qu’un mal de crâne abominable m’élançait, j’ouvris mes paupières… Les flammes avaient gagné l’étage, et le feu me menaçait de son souffle putride, au point de me bruler les poumons. Etais-ce les cendres que j’avais avalées une fois inconscient ? Toutefois, apeuré je m’apprêtais à reculer quand tout me vint enfin… Ma famille… Où est-elle ! OOOOHHHHH !!! MARYYYYYYY !!! JOSH !! WILLIAM !! JOSY !! ….

Comme réponse j’eu droit à une explosion due à mes réserves de whisky et de rhum… Personne n’était dans la maison… Sortant presque asphyxié… Je ne pus que contempler ce désastre… Ma maison s’écroulant, je ne voyais aucune trace de ma famille à l’extèrieur… Ma femme… Mes fils… et ma dernière Josy… Ma petite Josy… Qu’avais-je fait pour mériter cela… Tombant alors, je perdis connaissance.

« M’sieur ! M’sieur ! » Rouvrant les yeux, je devinais par ma vue encore troublé les traits d’un jeune homme, penché sur moi. Emettant un souffle agonisant visant à demander de l’eau, le jeune damoiseau comprit alors qu’un survivant gisait là.
« Un survivant ici ! Venez vite ! » Trois autre silhouette s’approchant alors, je devinais que ces villageois étaient venu devant l’ampleur de l’incendie. « Mary… » dis-je en toussant.
« Qu’on lui apporte de l’eau ! Je suis désolé de vous dire cela… Mais il n’y a aucun survivant… Les corps de vos enfants ont été retrouvé et quand à votre femme… Je jurerais avoir entendu des cris… Nous pensons qu’elle est morte dans l’incendie… »

Comme un marteau écrasant alors mon âme, ou un poignard perçant à jamais mon cœur, toutes mes suspicions que je refusais inconsciemment d’admettre me furent révélées au grand jour… Pourquoi ?... Qu’avais-je fait…

« Mr Lancaster, le garde côte jure avoir vu un équipage de pirate amarrer non loin.. Je pense que votre réputation vous a joué des tours… Vos couteaux sont d’une renommé internationale, quoi de mieux pour un pirate de posséder un tel couteau… Et puis il ne faut attendre aucune pitié de ces bêtes sanguinaires vous savez ! »

Un pirate aurait-il décimé une famille pour un vulgaire couteau ?

L’idée m’était sur le moment ridicule mais avec le recul, mon avis changea. L’art du coutelier se transmet de père en fils et mon ainé se débrouillait déjà correctement, quant à moi il m’avait laissé pour mort dans ma demeure... Peut être ne voulait-il qu’aucun autre pirate ne bénéficie de mes services ? Tous ces points trop sombres résonnent dans ma tête, et pas une journée ne passe sans que j’y réfléchisse.

Emmené chez le docteur de la ville, je passai trois jours à m’en remettre. Ma tête douloureuse, me lançait dans les cervicales et d’après le docteur, vu la violence du choc, je suis chanceux de m’en être tiré qu’avec une petite cicatrice… Chanceux… Chanceux de devoir supporter le fardeau qui m’incombait désormais… Car c’est une vie remplie de remords qui m’attendait…

Payant le docteur avec l’argent qui me restait, je partais sur la route qui menait à notre maison. Une odeur de cendre et de poussière régnait désormais non loin, l’herbe autrefois verte et merveilleuse était par endroit brûlée ou noircit par l’incendie. Bougeant quelque débris par colère et désespoir devant la réalité de la scène, je tombais à genoux…

Hurlant à ne plus en pouvoir je m’écroulais enfin à terre dans les cendres. Pendant plus d’une heure, vidé et anéanti, je me nourrissais de « Et si… Si seulement j’avais fait cela au lieu de ça… ect… » . Mes larmes coulaient à flots quand soudain perdu, mes yeux se posèrent sur le pendentif que j’avais offert à Mary, pour notre anniversaire de mariage..

Argentée, et sertie d’émeraude elle alimentait à l’époque un sentiment d’avenir et d’amour. Mais aujourd’hui furieux et détruit, en prenant ceci, elle nourrissait en moi un sentiment de vengeance. Me levant promptement, le pas lourd, je pris mes équipements et mon paquetage. Revêtant un vieux capuchon, et embarquant mes outils afin de réaliser mes couteaux lors de mes voyages, je partis avec comme seul souvenir de mes assassins celui des yeux verrons. Oui, la personne que j’avais aperçu à ma droite portait une grande coiffe ainsi que de grand yeux verrons.

Me retournant une dernière fois et me recueillant devant la tombe de mes enfants enterrés là, j’y laissais mon âme, et parti le cœur rongé par la tristesse.

Laissez-moi boire une gorgée… Ah, ça rafraichit ! Je disais donc…

C’est à partir de cet instant que ma vie de nomade débuta. Officiellement mort, je me fit baptiser, l’Oeil sombre et prit pour habitude de recueillir quelques informations dans les auberges et les bars. Bien qu’au fur et à mesure, l’amour pour la boisson, capable de noyer mon chagrin, me gagna. Alors, constamment au fond des tavernes à me morfondre, je payais mes verres par ma capacité à travailler de mes mains la journée. Capable de travailler le bois et le fer, je gagnai mon droit à la boisson tous les soirs honnêtement.

Cela dura bien trois mois… Ou bien peut être six… Ayant perdu le sens du temps, un événement vint pourtant me bouleverser. Voyageant tout de même, j’avais atterrit à Tortuga, là ou j’espérais que certain pirate reconverti parlerai d’un homme aux yeux verrons. Assis donc à l’ombre des bougies dans une des nombreuses tavernes, je prenais mon soupé, et m’humectait de cette douce boisson qui décidemment m’enivrait de moins en moins. Mais un cri me tira alors de mes pensées.

« Vient ici le bambin ! J’suis qui ! » Cria l’inconnu quelque peu éméché par la bouteille de rhum qu’il tenait fermement.
« Je… Je n’sais pas m’sieur ! » Dit le garçon apeuré. Déçu de la réponse, l’homme, qui apparemment semblait être un pirate, le cogna. Ce qui l’emmena valser à quelques mètres, provocant alors les rires des hommes à côté de lui, peut être son équipage.
« Reviens ! J’suis qui alors ! » Cria-t-il de nouveau. En pleure et terrorisé, le garçon n’osa pas répondre ce qui provoqua alors la colère de son interlocuteur. « Ah ! » Cognant de nouveau le gamin, il continua !
« Répond le puceau ! Dis mon nom ! »
« Je… Je… ne… »


Se préparant alors à le frapper, j’intervins. Ne sachant pas pourquoi ni comment, j’avais bloqué le bras du pirate.

« Va-t-en ! » Avais-je dit au garçon, ce qu’il fit immédiatement !

« T’es qui toi ! Tu sais à qui tu te mesure ! » Me dit le soulard. Puis ne cherchant même pas à comprendre, le sang glacé et la tête froide, je cognais à deux reprises cet idiot barbu. Ce qui eut pour résultat la réaction de son équipage qui se jetait déjà sur moi.

M’abaissant, je sortais en une fraction de seconde mes deux couteaux et tranchaient le tendons d’Achille de deux gaillards, mais réagissant trop tard un autre m'assainissait déjà un violent coup de genoux dans la mâchoire. A moitié sonné, je me relevais et esquivais une attaque, puis une deuxième. Réagissant dès lors devant l’ouverture, je coupais la main de l’un et plantait l’extrémité de mon couteaux dans la cuisse de l’autre. Quatre étaient tombés et les trois autres, apeurés partirent sur le champ. En état de transe, je ne réalisais pas encore que j’avais certainement pour la première fois de ma vie tué…

Bouleversant alors mes habitudes, je partis me débarbouiller du sang qui avait giclé sur mon visage et monta me coucher. Chanceux de me trouver à Tortuga, je ne risquais aucune réaction des autorités de l’île, car les règlements de compte étaient ici une chose des plus fréquentes. Alors, allongé dans ma chambre, je ne dormis cependant pas de suite.

Le lendemain, après un petit déjeuner, alors que je m’apprêtais à rechercher comme tous les jours un travail afin de subvenir à mes besoins, des murmures émanèrent autour de moi. « C’est l’Oeil sombre, c’est lui ! » Certain me regardaient avec curiosité, sur d’autre de la peur pouvait s’y lire. Était-ce dû aux événements d’hier soir ? Surement.

Toujours est-il que je poursuivais mon chemin et commençais à chercher du travail. Aucun commerçant n’a voulu de moi, même pas les artisans… Tentant ma chance dans les auberges, ce fut la même réponse. Mais enfin, alors que j’allais abandonner pour la journée car la matinée était déjà bien avancé, mes yeux se posèrent sur un bateau avec une coque quelques peu abimé. Profitant de cette occasion, je m’avançai.

« Bonjour, j’ai par hasard vu que votre navire était en sale était sur l’avant gauche. Je puis le réparer si vous le désirer ! »
« J’ai déjà des moussaillons qui s’en occupent ! »
« Bien… Désolé du dérangement occasionné… »
« Est-ce toi que l’on surnomme l’Oeil sombre ? Et dont tout le monde parle depuis ce matin ? »
« Et bien… Je… Oui. »
« Les dires sont-ils exacts ? »
« Je ne sais pas, je n’ai pas écouté les ragots. Mais si vous ne pouvez m’aider, je me dois de poursuivre mon chemin ! Car je suis à la recherche d’un travail. »
« Ola ! Reste calme, entre, tu m’interesse. Si tu travailles bien tu seras correctement récompensé ! »


C’est ainsi que j’aidai alors à la réparation du navire. Mes talents de menuisier furent vite découverts, si bien que je m’occupai très vite de la direction des opérations. Cela me prit deux jours. A la fin du deuxième jour alors que je terminais les finitions dans un but plus esthétique que pratique, l’on vint me voir.

« Bien. Tu as bien travaillé. Voici ta récompense. » Mais ne voyant rien dans ses mains, je ne comprit pas.
« Monsieur, ma récompense se compte en or je l’espère ? »
« Non, je t’offre un poste. Deviens le menuisier de notre navire ! »
« Je ne peux accepter. C’est contraire à mes idéaux. »
« Tes idéaux ? Parce que nous sommes pirates ? Tous ne sont pas pareils ! Accepte mon offre, et plus jamais tu ne chercheras de travail, vient et vis au rythme de nos aventures. Accède à la liberté, joins-toi à notre équipage, « Le Prince des Tempêtes ! ». Nous ne sommes pas des pirates sanguinaires, meurtriers… Je t’assure ! »


Et c’est ainsi que je partis boire un verre à la taverne la plus proche afin de réfléchir à sa proposition. Car non sans oublier que la parole d'un Pirate soit plus que douteuse, je ne pouvais prendre une tel décision sans y réfléchir...

« Si je ne revient pas demain matin lors de votre départ, c’est que j’ai refusé votre offre. En attendant, il faut que j’aille boire un verre… Je ne peux prendre une telle décision tout de suite ! »

Vous connaissez donc toute mon histoire… Et c’est en vous racontant tout cela, que ma décision fut prise… Car non sans me faire d'illusion sur la vie qui m'attendait, c’est en embraquant demain matin que je retrouverai le meurtrier. Et c’est en menant une vie de pirate que mes chances de retrouver cet homme se multipliaient.

C’était donc décidé. Demain matin j’embarquerais à bord du Prince des Tempêtes !


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    Ton âge : 21 ans
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MessageSujet: Re: Pietr Lancaster / L'Oeil Sombre   Pietr Lancaster / L'Oeil Sombre EmptyLun 6 Juin - 16:21

Je crains ne pouvoir vraiment corriger ta fiche, Pietr. Pour le moment, du moins. Vois-tu, je suis arrêté toutes les cinq lignes par des fautes de conjuguaison, d'accordage... En voici quelques unes ;

Citation :
Je vis au dépend de
je survie de mes économies
c'est en martyre que je parcours les mers et m'attardent aux bars
les cheveux brun, fin et mi-long
il possède tout fois
Habillé de vêtement plutôt miteux
une agilité dans leurs maniements
la gaité des choses simples [...] tel que le...
le Pietr coutelier de renommé disparut
Rusé toute fois, ...
l'oeil sombre commence a attisé...
il ne rechigne pas à donné

ces moments passé avec
un ivrogne quelques peu énerver
ou en étais-je donc ?
en pleine été
un soleil couchant refléter par notre lac, ou tous les dimanches...
nous rigolions plus que nous attrapions de poissons
Etais-ce les dencres
Toute fois, apeuré...
Ou est-elle !
une explosion dut à mes réserves
ces villageois était venu devant
vos couteaux sont d'une renommé international, quoi de mieux pour un pirate de posséder un tel couteau
il ne faut attendre aucune pitié de ses bêtes
quand à moi
une vie remplit de remords
l'herbe était brûlé ou noircit
Argenté et sertie d'émeraude elle alimentait...
la personne que j'avais aperçut...
j'y laissai mon âme, et parti...
Déçut de la réponse
à quelques mettre
"Revient !"
deux guaillard
un coupe de genoux m'assainissais
je me relevais et esquivait
Quatre étaient tombé et les trois autres, apeuré partirent sur le champ
je partis me débarbouillé
Etais-ce du aux...
je poursuivais mon chemin et commençait à...
"des moussaillons qui s'en occupe !"
"les dires sont-ils exacte ?"
"si tu travaille bien"
l'ont vint me voir
"Devient le menuisier"
"Vient et vit"

Je serais cependant apte à te corriger, une fois ces fautes effacées !
Bon courage !
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MessageSujet: Re: Pietr Lancaster / L'Oeil Sombre   Pietr Lancaster / L'Oeil Sombre EmptyLun 6 Juin - 17:38

Je ne voudrais pas trop m'avancer, surtout quand il s'agit d'orthographe... Mais je pense que la plupart des fautes sont corrigées ! =D
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MessageSujet: Re: Pietr Lancaster / L'Oeil Sombre   Pietr Lancaster / L'Oeil Sombre EmptyMar 7 Juin - 18:19

Bonjour, Pietr et bienvenue ! Comme je suis la capitaine du Prince et que Kharine m'a demandé mon avis, je me permets de m'incruster =) Tout d'abord, je serais ravie que ton personnage soit menuisier sur le Prince, mais je dois t'avouer que si notre équipage est plus porté sur l'aventure que sur les massacres, pas de trésors sans sang versé. Un pirate est un pirate ! Ceci dit, on peut imaginer que le maître d'équipage a pu te dire ça pour t'embaucher plus facilement si Scarlett lui a ordonné. En tout cas, il faut soit que tu modifies ça, soit que Pietr s'attende à perdre ses illusions ^^
Sinon je n'ai rien de plus à dire sur ta fiche et je serai ravie de ta valider quand ce sera réglé !
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MessageSujet: Re: Pietr Lancaster / L'Oeil Sombre   Pietr Lancaster / L'Oeil Sombre EmptyMar 7 Juin - 23:40

Citation :
Et c’est ainsi que je partis boire un verre à la taverne la plus proche afin de réfléchir à sa proposition. Car non sans oublier que la parole d'un Pirate soit plus que douteuse, je ne pouvais prendre une tel décision sans y réfléchir...

« Si je ne revient pas demain matin lors de votre départ, c’est que j’ai refusé votre offre. En attendant, il faut que j’aille boire un verre… Je ne peux prendre une telle décision tout de suite ! »

Vous connaissez donc toute mon histoire… Et c’est en vous racontant tout cela, que ma décision fut prise… Car non sans me faire d'illusion sur la vie qui m'attendait, c’est en embraquant demain matin que je retrouverai le meurtrier. Et c’est en menant une vie de pirate que mes chances de retrouver cet homme se multipliaient.

C’est décidé. Demain matin j’embarquerais à bord du Prince des Tempêtes !

Cela vous va Cap'taine !? =D
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MessageSujet: Re: Pietr Lancaster / L'Oeil Sombre   Pietr Lancaster / L'Oeil Sombre EmptyMer 8 Juin - 7:10

Parfait, M'sieur ! Dans ce cas, je vais t'embarquer sans plus tarder ! ♥ Félicitations !
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MessageSujet: Re: Pietr Lancaster / L'Oeil Sombre   Pietr Lancaster / L'Oeil Sombre EmptyMer 8 Juin - 10:29

Merci =P A bientôt !
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MessageSujet: Re: Pietr Lancaster / L'Oeil Sombre   Pietr Lancaster / L'Oeil Sombre Empty

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