Cap à l'Ouest !
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 Hermance, l'écorché

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Hermance Chaix d'Estange

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Hermance Chaix d'Estange

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Messages : 78
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Hermance, l'écorché Vide
MessageSujet: Hermance, l'écorché   Hermance, l'écorché EmptyLun 31 Jan - 0:11

Hermance, l'écorché Sanstitre1zqu
    Commençons par ton nom... Hermance Chaix d'Estange. Beaucoup de rallonges. Ainsi, il préférera "Doc."
    T'es pas un peu jeune pour être pirate ? Trente ans, c'est même presque trop vieux.
    Et si t'étais pas libre comme l'air, tu s'rais chez qui ? Chez les français. Il est d'ailleurs TOUJOURS chez les français.
    Et tu fais quoi de ta vie ? Médecin à bord de l'Amphitrite
    Et pirate, c'est une vocation ou t'as plus un rond ? A été engagé. Fait le travail. Plus secrètement, il fuit quelques fantômes.


Hermance, l'écorché Sanstitre2dbg
    Et t'es plutôt gringalet ou baraqué ? De santé fragile dans ses jeunes années, et bien qu'il se soit rétabli complètement, il en a gardé un vague air cerné, une stature à laquelle seul un ou deux centimètres retiennent de qualifier de délicate. C'est un homme mince et agile, toujours bien coiffé, au menton parfois écorché, l'envie de se raser lui étant parfois trop forte pour qu'il ne tente pas malgré l'absence d'eau, aux vêtements simples mais généralement en ordre, à défaut d'être propres. La piraterie n'a pas entaché son sens extrême de la rigueur, et cet attachement maniaque à son image est vu parfois comme une drôle de fantaisie, sur le bateau. Il n'est pas particulièrement beau, tout sec et anguleux, avec sa mâchoire crispée et ses yeux brun clair, et il n'est pas particulièrement charismatique, affublé de grosses lunettes à cercle de fer masquant à grand peine la teinte jaunâtre de sa sclère. Sa vie monastique se ressent dans ses gestes, précis, secs, et ses paroles, concises et informatives. La maladie de ses jeunes jours a aussi affecté sa voix, qu'il a un peu fluette, aux basses éraillées. Mais qu'on ne se méprenne pas. Il a gagné sa place sur le bateau, et n'est pas simplement un scientifique vieux jeu avant l'heure : sa bonne éducation a fait de lui un duelliste au mousquet acceptable, et sa stature modeste lui permet une rapidité diabolique lorsqu'il est armé d'une épée. Néanmoins, tout liquide plus fort que le vin a des chances de l'envoyer dans les pommes outrageusement rapidement (D'où son absence d'abus, certainement.) Pour se venger, il n'hésite jamais à bourrer ses patients d'alcool jusqu'au trognon avant d'officier sur eux.

    T'es pas du genre à tenir tête au capitaine, au moins ? Hermance est tout le contraire d'une forte tête. Raisonné, méthodique, d'un calme que certains qualifient de reposant, il ne s'énerve plus jamais. Cela lui arrivait autrefois, contre sa sœur turbulente, bien qu'elle ai été l’aînée, ou plus tard, contre sa nièce, qui était de la même trempe avec vingt ans d'écart. Il affectionne les certitudes, comme la médecine, et la voit comme le refuge dont a besoin son cœur en miettes. N'apprécie que très modérément tout ce qui a trait à l'art, abhorre la poésie, dédaigne la littérature et ne tolère la musique que sous sa forme la plus discrète. C'est un personnage très cloisonné, très sûr de son fait, qui n'hésite jamais à ressortir un vieux manuel de saignée pour en vanter les vertus aux plus imbéciles des progressistes. Enfin, il n'a aucun rêve de grandeur. Les trésors ne l’intéressent pas, la gloire et la fortune non plus. Il a vécu dans l'aisance toute sa jeunesse, mais la transition avec la vie rude de la Piraterie ne l'a pas heurté trop fort. Il endure l'âpreté de sa condition, ne grimace jamais en voyant une blessure, ne se plaint jamais de la faim ou de la soif, ne répond pas à l'appel des filles de joie.
    C'est qu'Hermance a un chemin de croix. Il s'imagine, dans le fond de sa tête engluée de formules et de remèdes, être une sorte de martyr souffrant de sa liberté, exsudant ses vices au fil de l'eau salée et cruelle. Il ne s'est jamais pardonné ses erreurs. C'est son châtiment que servir ici, soigner les gens, mourir peut-être un jour sans qu'aucune lettre de condoléances ne parvienne à personne. Cela a été son choix, une raison bien curieuse. Une raison bien logique.


    T'aurais pas une histoire à nous raconter ? J'en ai une. L'histoire de l'homme honnête qui perd tout. C'est une histoire qui ne fera pas colonne dans le journal. Une histoire sans panache, ni belle ni nouvelle. Un classique essoufflé, mais qui conserve encore un public. L'humanité n'apprend jamais de ses erreurs. Elle se pense meilleure.
    Hermance naît d'une mère fatiguée, Armeline Chaix d'Estange. Toute sa vie, elle dût courir après son mari trop volage, le ramener de ses beuveries de la haute, subir ses brimades, ses insultes, elle jamais assez jolie, souriante, fraîche, au goût de son conjoint. Il y avait toujours une remarque mordante au coin de la moustache d'Eugène Chaix d'Estange, et elle était systématiquement dirigée vers son épouse. Plus vieille que lui, la silhouette alourdie par son premier enfant, elle ne conçut pour la seconde fois que bien plus tard, après une mémorable nuit où, trop mûri par l'alcool, Eugène oublia son vœu de ne jamais la toucher de nouveau.
    Peut-être était-ce la lassitude de sa mère qui lui conféra une santé si fragile. Le jeune Hermance enchaîna les Maux avec une fréquence qui alarmait les médecins, et ses bras portent encore les cicatrices, tordues et lacérées par sa croissance, des nombreuses saignées qu'on lui infligea.
    Sa sœur, de neuf ans son aînée, devient mère très jeune, un ou deux mois trop tôt vis à vis de son mariage, mais on ne jasa pas trop. Diane était en effet déjà sortie du rang, longtemps avant, ayant décidé de devenir musicienne, ce qui horrifia tout le monde. la maternité fut, selon sa mère, le moyen que Dieu trouva pour lui rappeler ses devoirs d'épouse.
    La sœur fantasque et écervelée, la mère usée, le père toujours trop occupé.. Une famille bourgeoise ordinaire, festonnée de défauts.
    Alors Hermance s'appliqua à n'en avoir aucun : il suivit une scolarité longue et exemplaire, fréquenta les clubs d'escrime et de duel avec assiduité, et devient un médecin vite brillant, vite respecté. Puis, par le biais d'un ami de l’École, il rencontra celle qui deviendrait son épouse, Anne-lise du Jeûnet. C'était une créature incroyablement diaphane, mince comme une liane, qui souriait peu et avait une santé vacillante. Elle s'usait les yeux la journée durant sur un canevas immense qui figurait une scène champêtre, et ne faisait rien d'autre que les tâches ménagères les plus urgentes. Cette femme, aussi calme, aussi fantomatique, le séduit instantanément. Il savait qu'avec elle, il n'y aurait pas de musique, pas de bavardages incessants et futiles autour d'un thé, art dans lequel Diane et ses amies excellaient, pas de folies, pas d'envies fantasques, pas de coups de sang et de vaisselle cassée. Elle était d'un ennui délicieux. Il l'adorait avec beaucoup de retenue, l'installa dans une grande maison aux tons clairs, mangée de vigne, en pleine campagne, ne prit pas de gouvernante, car il se voulait observer la plus grande solitude possible, mais lui offrit deux grands chiens nobles pour la garder pendant qu'il officierait à la ville, et s'apprêta à couler des jours heureux.
    Mais l'ennui que l'on chérit un jour devint une chape de plomb le lendemain, et Hermance, qui jusque là s'en était accommodé parfaitement, commença à se languir des discussions animées qu'il pouvait avoir avec sa sœur -à présent partie aux Amériques, refaire sa vie-, des chamailleries bon enfant qu'instaurait sa nièce lorsqu'elle les visitait. Alors il se mit à errer, fréquentant des clubs de jeu de plus en plus douteux, rentrant parfois un peu trop tard, bien mis, sobre, mais quelque peu fautif. Anne-Lise était déjà enceinte de leur premier enfant lorsqu'il tomba pour la première fois dans Ses bras.
    C'était une jeune fille, presque une adolescente, grande, fougueuse, au caractère impossible, aux jupes lui découvrant les genoux, aux corsages trop serrés et qui dévoilaient trop sa gorge. Elle lui était tombé dessus dans un troquet, et s'était entiché de lui sans qu'il n'ai rien pu faire. Elle voyait en lui une sorte d'idéal, un négatif parfait de ce qu'elle était. Cela lui plaisait. Elle voulait le faire tomber de son piédestal, ce petit médecin tout propre dans sa tête, qui niait l'alcool contenu dans son verre, même s'il finissait bien par le vider. Alors elle le charma, s'obstina, longtemps, essuya des refus, des rabrouements, et même un verre jeté à sa figure. Et puis ils couchèrent ensemble, et ce fut la nouvelle routine de Hermance, une routine bien plus incertaine, pimentée et fougueuse. Il revenait de plus en plus tard, mais n'arrivait pas à s'en vouloir : Anne-Lise, sage et clémente, se couchait très tôt, pour lui permettre de rentrer chez lui sans ressentir d'embarras à son égard.
    Si Anne-Lise n'avait pas fait ça, serait-elle encore en vie ? Est-elle morte par excès de bonté envers son mari ? Est-ce ce simple déni bienheureux qui a conduit toute une famille dans l'abîme ? Peut-être que si elle avait brisé des assiettes, si elle l'avait menacé, si elle avait pleuré, plutôt que sourire gentiment, il aurait été là, en ce début d'hiver de l'année 1767. Il l'aurait sauvé, elle s'en serait sortie, elle et leur enfant, et, tout occupé par sa paternité, il aurait oublié sa drôlesse à la ville... Mais il n'était pas là, il était ailleurs, il respirait un autre parfum que celui de sa femme, sans se douter encore que ce serait la dernière fois. Il rentra tard, si tard que c'était presque l'aube. Anne-Lise s'était plainte, un peu, de douleurs au ventre -qu'elle avait à présent spectaculairement rond-, et il lui avait donné un petit quelque chose pour l'aider à dormir, sans s'en alarmer. Et, à présent, il était revenu, et elle était morte. Dans son lit défait, encore chaude et en sueur, au centre d'une grande corolle de sang froissé sur les draps. Le bébé avait voulu sortir, prématurément. Livrée à elle-même, toute seule dans sa grande maison, elle n'y était pas parvenue. Et Hermance n'avait pas été là pour l'aider.
    Cela brisa quelque chose.
    Il dériva longtemps, fou de douleur. Atteint une ville portuaire -fut-ce le Mans, fut-ce Brest, fut-ce Saint-Malo ?- se ruina le corps et l'esprit à l'alcool dans les bouges les plus indignes qui soient. Et puis entendit un jour un homme parler de son équipage. De son médecin qui venait de claquer du scorbut, qu'il ne pouvait pas reprendre la mer longtemps sans officier de médecine à bord. Il s'approcha. Il demanda si c'était dangereux. On lui répondit oui.
    Alors il postula.
    Depuis il boit sa peine à petites gorgées amères, fait ce qu'on lui demande, et attend le jour où son équipage essuiera une bataille si violente que personne n'en réchappera. Ni lui, ni sa culpabilité. Il noie ses fantômes dans l'aventure, cette même aventure qui lui a tout enlevé.
    C'est juste l'histoire d'un homme brisé. Vieux avant l'heure. Celui qui a tout perdu. Celui qui ne veut rien retrouver. C'est une histoire comme une autre, tu sais.


Hermance, l'écorché Sanstitre3su
    Ton prénom/pseudo : Burglemeister pour les intimes
    Ton âge : Bientôt 21 !
    Comment as-tu découvert le forum ? Je sais plus
    Ta première impression :
    Le code du règlement :[Vu par L. de Nogaret]


Dernière édition par Hermance Chaix d'Estange le Lun 31 Jan - 17:48, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Hermance, l'écorché   Hermance, l'écorché EmptyLun 31 Jan - 0:12

Fiche finie !
Je profite pour m'excuser de l'anachronisme de mon avatar, mais impossible de me détacher de lui... On oublie qu'il a un borsalino, d'accord ?
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Louis de Nogaret

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MessageSujet: Re: Hermance, l'écorché   Hermance, l'écorché EmptyLun 31 Jan - 15:30

    Bonjour, Hermance, et bienvenue parmi nous !
    Je mentirais si je disais que voir un médecin à bord de l'Amphitrite ne me réjouit pas. \ô/

    J'aurais cependant quelques points à voir avec toi avant validation. Point d'inquiétude, ils me semblent peu nombreux, ce sont surtout des précisions de détail. Ils interviennent davantage dans les descriptions physiques / psychologiques que dans l'histoire où je ne trouve rien à redire. ^^

    Citation :
    C'est un homme mince et agile, toujours bien coiffé, toujours rasé de près, aux vêtements simples mais généralement en ordre, à défaut d'être propres.
    Il me semble difficile d'être si impeccable, lors des voyages : tout d'abord, une vieille superstition empêche les marins de se raser / couper les cheveux lorsqu'ils sont en mer (les jeter par-dessus bord entraînerait des tempêtes !) Ton personnage peut ne pas y croire, bien entendu, mais parmi l'équipage, il y aura des pirates très superstitieux qui risquent de lui faire des ennuis s'il ne respecte pas la règle. Ensuite, plus pragmatiquement, si se couper les cheveux me semble possible, se raser devient plus difficile, en raison de l'extrême rareté de l'eau douce (et se raser à l'eau salée, je ne sais pas si c'est très bon pour la peau ...). Ceci dit, c'est du détail car comme tu le dis, à défaut d'être propre, il peut être bien mis, prendre soin de ce qu'il lui reste. Peut-être seulement n'est-il pas possible de le faire autant qu'il voudrait (et alors il serait intéressant de montrer qu'il en souffre, par exemple ?)

    Citation :
    Il affectionne ces sciences sûres que sont les mathématiques, la médecine, la chimie, l'histoire, il les voit comme le refuge dont a besoin son cœur en miettes.
    Tu as une répartition très contemporaine des différentes sciences : en effet, l'histoire à l'époque est plutôt du côté de la littérature, c'est n'est qu'au XIXe siècle qu'elle commence à chercher une légitimité en tant que science, avec Michelet (qui nous apparaît particulièrement 'littéraire' quand nous le lisons aujourd'hui). De même, la chimie n'en est qu'à ses balbutiements, et il est peut-être un petit peu tôt pour qu'elle ait acquis ses lettres de noblesse (encore que les théories d'atomes, etc. soient connues). En effet, elle se fixe par les travaux de Lavoisier qui ne sont pas encore publiés en 1770 (tu as vingt ans d'avance !)

    Je note aussi que les lunettes à cercle de fer sont inventées ensuite ... Mais comme je ne sais pas quelles sont les montures utilisées (car elles existent), je ne t'embêterai pas avec ça.

    Enfin la dernière chose qui me gêne - et tu me vois venir, c'est l'avatar. Non que je rechigne à accepter des avatars légèrement anachroniques (le mien en est un bon exemple), mais dans ton cas, l'image fait très années 1920 (le borsalino, les vêtements, le type de lunettes ...). Tu comprendras qu'un tel décalage soit problématique ... Ce qui m'empêche d'accepter, c'est qu'en RP, les joueurs se basent énormément sur l'avatar de leur partenaire pour produire une description physique, or je crains que cela n'occasionne beaucoup d'anachronismes ...
    Ma question est donc la suivante : avant de s'arrêter sur cette image, pourrions-nous au moins tenter de trouver quelque chose (as-tu d'ailleurs regardé dans la galerie ?) pour tenter de trouver un équivalent ? Dans le cas où ton personnage ne trouverait aucune image correspondante, je consentirai à l'accepter à cette condition : que tu mettes un petit avertissement en signature, afin de signaler le caractère éminamment anachronique des vêtements / accessoires.

    Ces points de détail réglés, je te validerai avec grand plaisir.
    (et prépare-toi à recevoir un MP, car il est un membre de l'Amphitrite avec qui t'arranger ^^ )

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MessageSujet: Re: Hermance, l'écorché   Hermance, l'écorché EmptyLun 31 Jan - 17:50

Je dois avouer que je n'ai pas réellement pris la peine de rechercher à quelle époque les sciences se sont séparées, je me suis dit qu'en restant le plus vague possible... Voila, c'est encore plus vague à présent, cela convient-il ? (J'ai mis les passages retouchés en italique. Pas touché aux lunettes, je ne sais pas par quoi les remplacer.)
Pour l'avatar... Bon, je vais voir. Ça me crève le cœur (je base moi aussi beaucoup un personnage sur son avatar) mais c'est vrai que je prenais un parti un peu risqué. j'ai regardé dans la galerie... C'est trop chevelu tout ça ! *bim* (La joueuse qui ne sait pas à quelle époque elle joue...)
Je vais tenter de le retoucher.
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MessageSujet: Re: Hermance, l'écorché   Hermance, l'écorché EmptyLun 31 Jan - 18:02

Pour les modifications du texte, c'est parfait (et merci pour l'italique, c'est très attentionné !)
Pour ce qui est de l'avatar, si moi ou quelqu'un d'autre peut t'aider, n'hésite surtout pas ... (je regarde en ce moment-même dans la mince galerie d'images de mon PC)
Dans la galerie-même du forum, vu ce que j'ai lu du personnage, j'aurais bien vu celui-là qui a un visage très anguleux, mais on est loin du tiré à quatre épingles ... Faut dire que ce n'est pas très à la mode, en 1770, si je ne me trompe. Je me posais d'ailleurs une question très naïve : vu l'époque, peut-être peux-tu axer tes recherches vers les tableaux comme l'a fait Sarria de Berrakatza ? A l'époque, en effet, les perruques restent le meilleur moyen de garder une mise impeccable, l'hygiène en elle-même laissant plutôt à désirer.
Tiens-moi au courant, car - pour tout dire - j'ai hâte de te valider. ;)
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MessageSujet: Re: Hermance, l'écorché   Hermance, l'écorché EmptyLun 31 Jan - 19:34

    Retouche acceptée et fin de la validation réglée par MP.
    Bienvenue sur l'Amphitrite ! Demandes de relations, de RPs, flood, etc. te sont grands ouverts.
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